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Blois
Rappelons simplement pour memoire que
du X au XIV siecle, les
comtes de Blois érigerènt
puis tinrent sur ce promontoire dominant
d'un côté, un ravin et
de l'autre la rive droite de la Loire,
le
premier château de Blois, siège du comté, que
devaient agranoir à peu au fil
de siècles leur royaux successeurs.
Propriété de la maison du câtillon au XIII siècle. Agrandie dans les
dimensions
du palai actuel. Elle présente ses courtines définitives, flanqués de
trois
tours au front du Nord, et d'une tour à l'angle
Sud.
Quant
à la célèbre salle du Etats du XIII siècle. Ces grands
vaisseau de deux neufaceolées séparées par brissés elle s'élève déjà
dans sou
état primitif au loigis
seigneurial de l'angle Nord.
En 1391, la
forteresse sera vendue à Louis d'Orléans, frère de
Charles VI, par le
dernier compte de Blois.
La véritable
histoire du château ne commencera pourtout qu'en 1440, avec le
retour en ses murs de Charles le poéte, Charles
d'Orléans, qui furt
retenu presonier 25 anées
durant à Londres, été capture
lors de la bataille d'Azincourt en 1415.
Ayant fait
jeter bas toute la partie Sud-Est du
château féodal, face
à la Loire, il la
reconstruisit dans le style gracieux du XV siècle, la
gothique flamboyant. Ce cera l'aile
Charles D'Orléans, élégant
bâtiment alternant la pierre blanche et la brique adossé à la chapelle
royale
Saint-Calais, mais dont ne
subsiste aujourd'hui que la moitié seulement, sur
une galerie ouverte d'arcades en anse de panier surbaissées.
L'autre
moitié de cet ensemble charmant sera stupidement démolie au XVII par
Mansart en
même temps que la nef de l'edification de l'énorme aile Gaston
d'Orléans, ce
monument de prétention
affalé au milieu des grâces du château
Renaissance.
Louis XII s'est
installé à Blois
des 1498 et y transfere bientôt les chantiers alors en
activité au château d'Amboise. Aussitôt
débute la reconstruction sous la direction de
Colin Biart de l'aile N-E du palais, l'actuel corps de logis Louis XII
de
l'entrée. A l'extérieur, le portere
Lois XII sera surmaté d'une
niche faboyante décorée de gâble à fleurons et clanchetons, d'ars
festonmés, format l'écrin précieux en dentelle de pierre blanche
tapissé de
fleurs de lys, de la grande
statue, questre du roi sculptée a
l'époque par Guido Mazzoni.
Depart et d'autre, du
portail est de sa poterne, s'ouvrent les
deux étages de baises disposées
irrageguliére,ent dans la façade gothique, cemprenant
deux balcens dont le balcen, de la
chambre royale, à
gauche.
Cette façade se
caractériste par les bandeaux à moulurs bouzantales de limitant les
baises.
Une balustrade flamboyante court tout au
long de sa coiniche, à la basse
du cemble ajouré de cinq lucarnes à gàbles
scluptes. Cinq
cheminées monementales, décerées
de motifs gothiques, jaillisent
enfin au faîte du tout, tres
pentu. C'est dans ce
corps de logis que trépassa le 9 janvier
1514, Anne de Bretagne reine de France.
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En 1508, l'on procéde
à la consécration solennelle de la chapelle royale saint-calais,
reconstruite
dans le style flamboyant derriere l'aile Charles D'Orléans.
Louis
XII fera encore tracer au nord-ouest du château,
de magnifiques jardins et des partteres, par Pacello Da Mercogliano
venu lui
aussi d'amboise.
Pendant dix ans,
jusqu'en 1515
Françoi I réactivera les chantièrs du chatêau
après la mort de Lois XII en 1515 en reconstrissant l'angle Nord-Ouest,
dout les traieaux seront cofiés à Jaques
Sourdeau. Ce
sera l'aile François I. En clavé entre la
salle des Etâts du XIII siècle et la futur aele XVII de Gaston
d'Orléans le
bâtimans deviendra le chey d'ouvre de la gloire de Blais. La
façade intervenue témaigne encore d'une continuitée dans l'ordonence
architecturale à la française du gothique et la Renaissance avec ses
trois
étages de fenêtres à meneaux couronné d'une croinche sculptée des
coquilles au
dessu de laquelle d'ouvrent les belles euranes du comble.
Son fleuron,
le grand escalier vis polygonal
dressé en saillie jusqu'aux combles, dans une splendide cage à huit
pans évidés
entre ses contreforts d'angle verticaux au milieu du corps de logist,
donne la mesure de la géniale conception de l'ensemble. Les cinq
balcons formes pair sa rampe hélicoidale
et sa terrasse superieure à balustrade
servaient jadis de tribunes à Cour un peu à l'image des terrasses de
Chambord, et
la rampe était si spacieuse, qu'un cavalier
pouvait escalader ses marches, droit sur
son palefroi.
En 1626, un
siècle
plus tard, débutera la
derniére et la plus la plus malheureuse des
compagnes de travaux du château, avec
l'érection de l'aile Gaston d'Orléans.
Mansart,
chargé de cette besogne, abattra l'aile
gothique Sud-Ouest, l'extremité
Ouest de l'aile.
François
I,
la moitié Sud de l'aile Charles d'Orléans et la nef de la
chapelle royale.
Aprés
ces demolitions, il
érige l'aile Gaston d'Orléans, corps de
bâtiment de trois étages avec un avant corps
central formant cage d'escalier, flanqué de
deux amorces d'ailes en retour d'equerre
faisant saillie à l'exterieur, au dessu
de la contrescarpe de l'en ceinte
des comtes de Blois.
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